« Le Latin au service des disciplines de la mémoire et du langage », par C. Suzzoni

À l’heure où l’on s’interroge sur la place du latin dans les cursus d’études à l’université, les auteurs de cet essai rappellent, chacun avec son propre éclairage, que l’enjeu du débat sur le latin dépasse les seules questions identitaires et les simples intérêts d’une corporation d’enseignants et de spécialistes. Le latin étant le socle linguistique et historique de l’humanisme européen, son avenir est indissociable de celui des langues que nous parlons – langues romanes, bien sûr, mais aussi langues germaniques. Ignorer ce substrat nourricier reviendrait à condamner notre modernité et nos jeunes générations à vivre sans la conscience de la langue, sans savoir ce que parler veut dire, sans être en mesure de comprendre que la culture, porteuse de sens, n’est pas uneoption, mais une nécessité.

Sous l’impulsion de D. Allart (ULiège), ont contribué à cet essai Br. Rochette (ULiège), J. Winand (ULiège), P. Assenmaker (UNamur), C. Suzzoni (Lycée Henri IV) et Y. Berthelet (ULiège).

Pour en savoir davantage, cliquez ici.

Les éditeurs autorisent aimablement la diffusion sur notre site de la contribution à ce volume de Cécilia Suzzoni, présidente émérite de l’ALLE : « Le Latin au service des disciplines de la mémoire et du langage ».

À lire aussi : un entretien paru dans La Libre Belgique, où il est question de l’ouvrage publié sous le patronage de l’ALLE, Sans le latin.

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